User Tools

Site Tools


electronique:base_de_connaissances

This is an old revision of the document!


Formules

P : Puissance (Watt)

U : Tension (Volt)

I : Intensité (Ampère)

R : Résistance (Ohm)

P = U x I

U = R x I

Electronique

Utilisation des transistors

Gestion des LEDs

Tension

thumb

La tension doit être comprise entre 4.75 et 5.25 volts.

L'intensité maximum drainable de la pin 3.3 V est 50 mA.

L'intensité maximum drainable de la pin 5 V est égale à l'intensité fournie par l'USB (souvent 1 A) moins tout autre drainage du reste de la carte (700 mA) = 300 mA.

Il est recommandé de ne pas dépasser 16 mA par GPIO en sortie.

GPIO

Construire une alim 5V

Intensité dispo sur les pins power GPIO

GPIO & relais

http://blog.idleman.fr/raspberry-pi-06-utiliser-le-gpio-et-interagir-avec-le-monde-reel/

http://elinux.org/Rpi_Low-level_peripherals

thumb

thumb thumb

pin 01 : courant de 3,3 volts

pin 02 : courant de 5 volts

pin 03 : GPIO 0 / GPIO 2 (SDA)

pin 04 : courant de 5 volts

pin 05 : GPIO 1 / GPIO 3 (SLC)

pin 06 : masse

pin 07 : I/O GPIO 4 (GPCLK0)

pin 08 : GPIO 14 (TXD)

pin 09 : masse

pin 10 : GPIO 15 (RXD)

pin 11 : I/O GPIO 17

pin 12 : I/O GPIO 18 (PCM_CLK)

pin 13 : I/O GPIO 21 / GPIO 27

pin 14 : masse

pin 15 : I/O GPIO 22

pin 16 : I/O GPIO 23

pin 17 : courant de 3,3 volts

pin 18 : I/O GPIO 24

pin 19 : GPIO 10 (MOSI)

pin 20 : masse

pin 21 : GPIO 10 (MISO)

pin 22 : I/O GPIO 25

pin 23 : GPIO 11 (SCLK)

pin 24 : GPIO 8 (CE0)

pin 25 : masse

pin 26 : GPIO 7 (CE1)

Correspondances entre les différentes notations de numérotage des PINs

gpio

Matériel

Arduino & compatibles

AVR & programmation

Utilisation et attribution des ports

Section du tuto ci dessus parlant uniquement des registres et de leur manipulation

Explication sur les ports du controleur arduino 'basique'

Et attribution des pins pour le ATmega328

Bitwise operations

Alimentation

Alim de laboratoire 5A : Ps3005da501

Clé 3G Huawei E220

Sonde de température et d'humidité relative

Relais

Il y a 3 bornes par relais : NO (Normally Open), NC (Normally Closed) et COM (Commutateur).

Il faut brancher un fil sur COM.

L'autre sur NO afin que, à l'état initial, le relais soit ouvert et donc que le circuit soit ouvert.

Ou inversement, l'autre sur NC afin que, à l'état initial, le relais soit fermé et donc que le circuit soit fermé.

Fonctionnement monostable : les contacts commutent quand la bobine est alimentée et le retour à l'état initial se fait quand la bobine n'est plus alimentée.

Fonctionnement bistable à une bobine : on alimente la bobine pour que les contacts commutent : l'état ne change pas quand la bobine n'est plus alimentée, un système mécanique bloque le retour. Pour revenir à l'état initial, on alimente à nouveau la bobine pour débloquer le mécanisme, dans certains cas en inversant la polarité de l'alimentation.

Fonctionnement bistable à deux bobines : on alimente la première bobine (“S” pour “Set”) pour que les contacts commutent : l'état ne change pas quand la bobine n'est plus excitée. Pour revenir à l'état initial, on alimente la deuxième bobine (“R” pour “Reset”).

Les relais bistables (ou “latching”, “impulse”, “keep” ou “stay” relay) nécessitent une impulsion de quelques millisecondes (jamais un courant continu) et consomment donc moins de courant.

Consommations

Intensité délivrable par l'alimentation = somme des composants connectés.

  • Raspberry PI = 700 mA (5 V)
  • Clé 3G Huawei E220 = 2,5 W / 5 V = 500 mA (5 V)
  • Antenne externe pour clé 3G = ?
  • Relais monostable = 20 mA (5 V)
  • Sonde de température = 1,5 mA en cours de mesure ou 0,05 mA en veille (3,3 - 5,5 v)
  • Radio :
    • récepteur = 4 mA au repos (5 v)
    • émetteur = 28 mA (3 - 12 v)

Library

Connexion externe

Pour l'utilisation à distance il faut juste s'assurer que les ports http + maintenance (ssh) soient disponibles de l’extérieur.

IPv4

Par contre avec la razzia sur les IPv4 c'est de plus en plus complexe et de moins en moins de FAI mobile acceptent de fournir une adresse IP publique, donc faudra voir comment on peut faire.

Mon gsm a bien une ip en 10.x.x.x donc ce sera plus chaud. Donc soit on a une ip publique soit c'est le raspberry qui devra aller chercher ses instructions à l'extérieur lui même. On avait pensé au client mail, je te propose twitter également

Twitter

J'ai essayé avec un client twitter en CLI : http://www.floodgap.com/software/ttytter/ et ça semble assez prometteur. Les 20 derniers tweets d'un user donné sur twitter.

twitter_cli.jpg

DynDns

Pour le nom de domaine je pense que tu peux t'en sortir avec 15€/an chez les grands comme dyndns avec des ndd tt à fait décent. En gratuit j'ai ceci : http://freedns.afraid.org/, les noms de domaines sont assez moches et pas pro du tout (je crois que j'ai un truc du genre chickenkiller.org) mais c'est gratos. J'ai combiné les 2 (le gratos pr le dyndns qui suit mon ip) et le payant qui redirige un ndd 'pro' vers le truc débile cité auparavant (moi j'ai mis un CNAME dyn.helpcomputer.eu dessus)

Pour les services de synchro d'ip, il n'y a pas de bile. Tu pourras utiliser des soft genre ddclient chez les 'pros' et des tits scripts qui vont bien chez les gratos. Pour ma part j'ai du me rabattre sur un script tournant sous cron car le ddclient (que j'utilisais avec dyndns) ne fonctionne pas/mal pour ce prestataire gratuit.

[color=“orange”]Au pire “chairiere.be” est dispo :-) J'ai déjà utilisé des clients sur Windows qui fonctionnaient bien, mais c'est facilement faisable à la main par un cron comme tu dis. Je pensais commencer avec un nom de domaine pourri mais gratuit.

Bonne idée le tweet, je l'emploie pas mais ça fera vendre notre produit final :p Au final les services peuvent se recouper (sms, mail, tweet, interface web, bouton poussoir sur le PI (à pas oublier celui-là sinon y aura un stress pour allumer le chauffage haha), …), y a pas de soucis ![/color]

Reverse SSH (tunneling)

[color=“green”]cfr les liens suivants pour avoir un accès permanent à la machine : reverse ssh geekfault et doc ubuntu Ca permettrait deja d'avoir une connexion ssh permanente pour la maintenance, et ça pourrait permettre au serveur web d'être également visible de l'exterieur même sous le couvert d'une ip privée. Gros point négatif de l'histoire ça oblige un autre serveur disponible pour faire le relai (après pq pas un autre raspberry, mais c'est légèrement redondant et oblige un peu de config nat sur un routeur et un routeur always on) [/color]

[color=“orange”]Ca a l'air vraiment pas mal ça ! En plus ça ne se limite pas au SSH si on tunnelise sur le port 80. Avant de lire ton lien je pensais qu'on devrait avoir un raspberry dédié qui communiquerait en SSH avec le distant et qui s'occuperait du coup du serveur web. Mais en fait non, on peut tout laisser sur le distant et se servir du dédié uniquement comme passerelle, même pour le web !\n C'est juste très con d'avoir une machine allumée qui ne fait que passer des données dans le tunnel :/ Surtout qu'elle nécessite aussi une configuration : mise en place du tunnel et redirection des demandes SSH et web. Plus création de plusieurs comptes si on veut savoir qui fait quoi ? Quoique les comptes peuvent se gérer au niveau du serveur web au bout de la chaîne en fait…\n Corrige moi si j'ai dit une connerie :D[/color]

Autossh|init script multi-tunnels 1 seul host

electronique/base_de_connaissances.1425167305.txt.gz · Last modified: 2020/04/14 19:21 (external edit)

Donate Powered by PHP Valid HTML5 Valid CSS Driven by DokuWiki